Attester licitement le l’agression morale : comment ça se fait ?

La loi réprimande sévèrement les crimes d’agression sexuelle. Mais justice ne vous sera pas faite si vous restiez statique sans porter plainte. Pour cela, si vous ou une de vos connaissances se retrouve dans une situation pareille, c’est-à-dire le cas du harcèlement sexuel, voici comment procéder !

Apporter les justificatifs de conjecture

L’agression morale est un procédé répétitif qui viole la dignité, les prérogatives ou les droits d’un individu. Vous trouverez plus d’informations en visitant ce lien http://liberte-sociale.eu/. Déjà, si vous êtes capable d’attester que vous êtes victime, vous devez avoir la justification de la conjecture.

Cependant, les différentes preuves que vous avez apportées devant la justice ne sont pas synonymes d’incarcération immédiate de votre bourreau. En effet, il y a encore une étape pour attester de leur véracité. C’est une phase qui se compose en deux parties. Premièrement, vous présentez vos justificatifs d’agression et l’accusé pourra après réfuter ou non ces accusations.

Exposition des justificatifs de conjecture

À ce niveau, il vous sera demandé de divulguer les preuves qui accablent celui ou celle que vous dénoncez. Il ne sert pratiquement à rien de porter une accusation sans en avoir de preuves concrètes.

Réfutation des justificatifs par l’accusé

Une fois après avoir dénoncé pour cas d’agression morale, la législation permet à l’accusé de se défendre. En effet, il a la possibilité de remettre en cause les allégations portées contre lui. Au cas où il parviendrait à réfuter toutes les charges, il sera totalement libéré. Mais par contre, s’il n’y parvient pas, il va devoir assumer les conséquences légales de ses actes.

Opter pour la transcription

C’est légal d’enregistrer afin d’attester l’intimidation que vous subissez. Cependant, retenez que toutes les transcriptions ne sont pas légales. En effet, seules les transcriptions réalisées avec l’accord de l’accusé sont éligibles.

Par ailleurs, les messages informatiques que vous recevez dans votre messagerie privée sont un avantage indéniable. Vous pouvez les utiliser pour informer vos collègues de l’agression que vous dont vous avez été victime. Comme ils sont aussi témoins, alors ils pourraient vous aider. Le témoignage de vos collègues de travail constitue également une autre source de soutien.

Prendre les déclarations des collègues

Pour réagir face à l’agression dont vous êtes victime, vous pouvez compter sur l’apport des témoignages de votre entourage. Leurs différents témoignages constituent une preuve dont vous pouvez vous appuyer. En plus, lorsque vous partagez votre histoire avec eux, ils comprennent la peine que vous endurez. Ainsi, ils pourront se porter garants de témoigner en votre faveur.

D’un autre côté, vous pouvez aussi en parler à vos connaissances comme vos amis et vos parents. Mais leurs déclarations ne seront pas aussi fiables et convaincantes que celles des gens qui sont victimes comme vous. De surcroît, rapprochez-vous d’un médecin et décrivez votre douleur psychique et physique. Il est vrai que le témoignage du médecin n’est pas valable, mais il constituera une preuve supplémentaire.

Transmettre les pièces à conviction

Pour justifier l’agression morale, vous pouvez aussi vous y prendre de différentes façons. Au cas où vous seriez une cible, faites une demande au juge d’apporter des preuves. Il s’agit peut-être de la fiche de paie que votre manager que vous remettez en cause s’oppose de vous remettre pour des raisons inavouables. Demandez poliment au juge de le lui requérir.

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